pour nore syndicat Educ Nat’ comme pour la Cgt, la lutte féministe, ce n’est (surtout) pas que le 8 mars.
Elle doit être quotidienne parce qu’encore une fois, le pire est arrivé à deux femmes dont l’une était notre élève, collégienne à Thenon.
Ainsi, après avoir laissé, c’était nécessaire, laisser retomber la pression émotionnelle, il faut agir dès cette fin d’année scolaire.
C’est à nous, forces syndicales et professionnelles et à tous ceux et celles qui se reconnaissent dans la lutte féministe de faire entendre notre voix et nos revendications pour que l’Educ Nat’
protège davantage les jeunes filles dès l’Ecole, puis au collège (et au lycée ensuite), où, personnels Psy-en, et assistantes sociales sont pour la très grande majorité des femmes.
Ici, revendications sociales et lutte féministe se rejoignent:
Pour mieux protéger les femmes et les jeunes filles dès le collège, il faut davantage de personnels assistantes sociales, psy-en, les titulariser, diminuer le nombre d’établissements à couvrir.
Ne rien faire serait une honte.
En PJ, notre appel à venir nous soutenir, nous rencontrer, discuter à l’occasion de notre entrevue avec l’IA-DSDEN, et s’il le faut te mettre en grève avec la CGT Educ et toutes les orga, que votre organisation pourra mettre en lien avec cette journée. Nos revendications sont claires et en PJ de ce mail sur notre tract à diffuser massivement.
Nous inviterons la presse également
- le Mercredi 2 juillet 2025
- 13h45
- devant l’Inspection Académique de la Dordogne, à Périgueux.